Transition énergétique: le trublion Moore s’attaque à l’escroquerie du siècle

Source [Causeur] Le documentariste star de la gauche radicale rejoindrait-il le camp des adversaires de l’éolien ? La plus formidable escroquerie scientifique et intellectuelle du 21e siècle. Et le plus grand gâchis d’argent public de tous les temps !

C’est ainsi, sans exagération aucune, que l’on peut qualifier les « énergies renouvelables », les fameuses EnR (éolien, solaire, biomasse) que les écologistes nous vendent comme la solution miracle depuis le début des années 2000. Les scientifiques sérieux et les spécialistes de l’énergie le savent depuis longtemps, et crient dans le vide, études et statistiques à l’appui : ces technologies ne sont pas vertes mais polluantes, et ne sont pas en mesure de produire autre chose que de l’énergie de complément, à petite échelle et dans des zones favorablement exposées. 

N’en déplaise aux lobbyistes et aux as de la com des EnR, le nucléaire et l’hydroélectrique demeurent à ce jour les seules solutions de masse dont nous disposons pour répondre à nos besoins en énergie, sans risques, et sans émission de CO2. Et aucune technologie dite « de rupture » ne  remplacera les ressources naturelles, gaz et pétrole, avant des décennies. Affirmer le contraire relève du négationnisme scientifique pur et simple. Mais les écologistes – dont les plus illuminés rejettent vaccins, avions, économie mondialisée, voir les libertés individuelles – n’ont jamais été avares de doctrines délirantes. Et les hommes d’affaires n’ont jamais tourné le dos à l’argent facile, même aux dépens de l’environnement. 

En dépit de l’échec total de l’éolien (qui ne produit presque rien, de manière intermittente, et massacre les paysages), du solaire (idem) et des usines de « biomasse » (un mot chic pour dire « usine ultra-polluante qui produit peu d’énergie en brûlant des arbres et de l’énergie fossile »), la doctrine de la « transition énergétique » chère à Greta Thunberg est plus à la mode que jamais. Jugez plutôt : sous la pression électorale des verts, l’Allemagne a fermé ses centrales nucléaires, et a dépensé à elle seule 500 milliards € en éoliennes et panneaux solaires… 

Résultat ? Un bide monstrueux qui l’a poussé à rouvrir ses centrales a charbon, et comble du ridicule à acheter de l’énergie nucléaire à la France. L’Allemagne, modèle d’EELV, produit ainsi 10 fois plus de CO2 par kilowattheure que l’hexagone ! Dans le monde, on estime que 3000 milliards d’euros ont été investis dans les « énergies vertes » depuis le fameux film effondriste d’Al Gore sur le réchauffement climatique. 3000 milliards littéralement jetés par la fenêtre, qui auraient pu servir par exemple à augmenter les salaires, à construire des écoles, à financer la recherche, le système de santé, etc… 

Les écologistes, et les industriels de l’énergie attirés par la formidable manne financière des EnR, ont conjugué leurs efforts pour convaincre l’opinion publique et les politiques du potentiel des « énergies vertes ». Ce lobbying a fonctionné au-delà de toutes leurs espérances. On connaît le discours concerné en vogue, repeint en vert, qui fait partie des éléments de langage de chaque politique en campagne. Pas un auteur de discours politique dans ce pays — ce fut mon métier — ne peut écrire autre chose que du bien de la « transition énergétique », de Greta, et se garde bien d’évoquer le nucléaire, si ce n’est pour promettre de démanteler cette vilaine filière industrielle aux 220 000 emplois hautement qualifiés, pourtant garante de notre indépendance énergétique, et dont l’excellence est reconnue à l’échelle planétaire. 

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