Source [Causeur] : Ils — ou plutôt, « elles » — étaient à peine nommées que les critiques ont fusé, particulièrement dans le milieu enseignant. Florilège de choses entendues par notre chroniqueur ou ses satellites.
« C’est du mépris pour les sportifs et du mépris pour les enseignants ! On n’a pas droit à un ministre à part entière ! Sophie Vénétitay [la secrétaire générale du SNES-FSU, très critique sur la nomination d’AOC, comme on l’appelle] a raison, on aura un ministre à mi-temps ! »
« Tu as vu ? Elle a scolarisé ses gosses dans le privé catho anti-homos, avec des classes non mixtes — c’est Mediapart qui le dit, ça doit être vrai ! »
« À Mediapart, sûr qu’ils inscrivent leurs enfants dans des écoles prolétariennes et socialement mixées… À Paris, ce n’est pas ce qui manque… »
« Ouais… Remarque, les enfants de Vallaud-Belkacem aussi ils étaient dans le privé… »
« Oui, mais elle, c’était pas pareil ! »
« Mais dis-moi, les tiens… »
« Oui, mais moi, c’est pas pareil ! »
- Sonia Mabrouk: dernier appel avant la catastrophe
- Campagne à la découpe
- Pourquoi Sarah Knafo est-elle si peu invitée da...
- Tombera… Tombera pas?
- Boualem Sansal: ses propos sur le Sahara que l’...
- Une vague bleue
- SNCF: l’exemplaire ponctualité
- Harcèlement scolaire: ce que Gabriel Attal peut...
- Poitiers, Rennes, Marseille… la France orange m...
- L’Eglise catholique, piñata favorite de la gauche