Mardi soir, une centaine de fidèles récitant des « Je vous salue Marie » se sont réunis autour de l’église Notre-Dame-de-Bon-Port, à Nantes (Loire-Atlantique). Ils protestent contre la venue de Anna von Hausswolff.
Dans l’un de ses titres, l’artiste, d’origine suédoise, évoluant sur la scène post-metal et rock alternatif, répète sept fois « Je fais l’amour avec le démon » (Pills, 2010).
L’artiste a finalement pris la décision de ne pas se produire dans l’église afin de ne pas provoquer de tension. Le diocèse de Nantes avait initialement autorisé la tenue de ce concert au sein de l’édifice dont il est affectataire. Un fidèle, présent ce soir-là, ne cache pas son incompréhension : « Une église diocésaine est exclusivement réservée au culte. Anna von Hausswolff peut se produire où elle veut et quand elle veut, mais pas dans un édifice où l’on va à la messe le dimanche ! »
Il témoigne : « Nous nous sommes positionnés sur les cinq portes de la basilique. Nous avons chanté. Les forces de l’ordre ont vite compris que nous n’étions pas là pour perturber l’ordre public mais que nous voulions simplement faire respecter la sacralité du lieu. »
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