
Source [Breizh-Info] : Créée en mars 2025 à l’unanimité par l’Assemblée nationale, la commission d’enquête parlementaire sur TikTok vise à étudier les effets psychologiques de la célèbre plateforme chinoise sur les mineurs et à proposer des mesures de protection. Une bien noble intention… sauf que ces tribunaux idéologiques s’acharnent moins à chercher la vérité qu’à mettre à l’index les coupables déjà désignés. Leur but : donner l’illusion que le gouvernement travaille à quelque chose, qu’il s’intéresse vraiment à la vie de ses sujets. Bref, ces commissions ne servent qu’à engraisser la machine.
« Le Système, comme chacun de ses rouages, fonctionne sans autre fin que son propre fonctionnement. » Cette sentence, prémisse à toute réflexion sur le pouvoir qui nous domine, suffit à elle seule à définir les commissions d’enquête parlementaires. Le problème est quand les seuls à ne pas l’avoir compris, ce sont les parlementaires eux-mêmes. C’est en tout cas ce qu’expriment leur mine déconfite quand les interrogés refusent de se présenter, tel Pierre-Édouard Stérin, ou que lors de leur passage à la question, ils se permettent d’envoyer paître leur inquisiteur, tel Dominique Besnehar et son fameux « si c’est mon procès, je me taille tout de suite… Vous n’êtes pas là pour me faire la morale ! » lancé à l’infatigable Sandrine Rousseau.
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